Évaluation : Sur la base du manque de preuves, de la nature de la blessure telle que décrite par les médias, du comportement et de la répartition connus des requins en Colombie-Britannique, il n’y a pas de coupable évident, et encore moins de certitude que la blessure ait été infligée par un requin. La morsure n’est pas caractéristique d’un requin blanc. Le requin saumon, qui est rare à cet endroit, est piscivore (mangeur de poisson) et n’a jamais été associé à une attaque contre un humain. Le requin griset n’est pas connu pour s’aventurer dans la zone de surf. L’aiguillat commun, qui est trop petit pour attaquer les mammifères marins, n’a jamais été impliqué dans une attaque contre un humain.

Détail : Cet incident non confirmé est publié pour montrer que nous sommes au courant du rapport mais que nous ne pouvons pas valider l’attaque revendiquée.

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Références :
¹ Injured surfer’s shark-bite diagnosis met with skepticism. The Globe and Mail. 24.07.2012. En ligne.